Inforum
Organisé avec le soutien de
Programme
MATIN
Modérateur : Christopher Boon, président de l’ABD-BVD
ACCUEIL
INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE
par Christopher Boon, président de l’ABD-BVD,
Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),
et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2013
L’INFOBÉSITÉ/SURCHARGE INFORMATIONNELLE EN ENTREPRISE : RÉALITÉ OU ILLUSION ?
par Caroline Sauvajol-Rialland, maître de conférences UCL, Louvain-la-Neuve, fondatrice de So Comment, cabinet conseil en gestion de l’information
Le constat de la surcharge informationnelle et la corrélation des variables avec la surcharge d’activité et le sentiment d’urgence. Une définition de la surcharge informationnelle. Les risques pour les personnes et pour les organisations.
COMPÉTENCES INFORMATIONNELLES EN TEMPS DE SURCHARGE D’INFORMATION
par Sara Decoster, bibliothécaire ULg, Liège
À l’ère de l’information actuelle, la bibliothèque a de plus en plus une fonction de pont entre les données et l’utilisateur. Par conséquent, cela vaut la peine de réfléchir sur son rôle dans le développement des compétences de l’information. La bibliothèque offre ainsi non seulement des outils techniques, mais sensibilise également aux problèmes relatifs à information.
PAUSE
MÉDIAS SOCIAUX, SURCHARGE INFORMATIONNELLE ET MANQUE D’ÉNERGIE : ÉVITER LE BURN OUT ET RETROUVER LE PLAISIR AU TRAVAIL
par Luc Swinnen, médecin spécialiste du stress, Lembeke
Dans cette présentation, nous aborderons la personnalité de l’être humain. Celui qui veut tout terminer de manière parfaite, celui qui reporte beaucoup à plus tard ou encore celui qui voudrait toujours faire plaisir aux autres, sont des personnes en permanence menacées par le burn-out. Nous disposons d’une large base de données pour illustrer ce propos. En outre, la surcharge informationnelle, ainsi que les médias sociaux, jouent un rôle important. Le message n’est bien entendu pas que ces médias sociaux doivent disparaître de notre vie quotidienne, mais il nous faudra les utiliser de manière correcte et efficace, et avec bon sens. Une présentation non dénuée d’humour, avec un clin d’oeil à la loi de Pareto.
LUNCH
APRÈS-MIDI
Modérateur : Toon Lowette, directeur, Grid Online Publishing Consultancy, Hoeilaert
REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION
par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD
Lauréate : Michèle Orban (Master en sciences et technologies de l’information et de la communication de l’UCL)
Titre du mémoire présenté : La cartographie des domaines de connaissances comme outil de veille stratégique.
SURCHARGE INFORMATIONNELLE : COMMENT AVONS-NOUS PERDU LE CONTRÔLE DE L’INFORMATION ET QUE DEVONS-NOUS FAIRE AUJOURD’HUI ?
par Jonathan Spira, analyste en chef, Basex, Washington (États-Unis)/Londres (Royaume-Uni)
En 2010, la surcharge informationnelle a coûté 997 milliards de dollars à l’économie des Etats-Unis, et les chiffres ne font qu’augmenter. Alors que la surcharge informationnelle est typiquement assimilée à la surcharge provoquée par les courriers électroniques, ces derniers ne sont que la figure emblématique du problème, alors qu’elle se manifeste dans des domaines aussi variés que la recherche d’information ou la communication de tous les jours. Parvenir à une meilleure compréhension du problème est le premier pas vers sa prise en charge, et l’orateur, auteur de l’ouvrage « Overload! How too much information is hazardous to your organization », nous emmènera à l’origine du problème et nous guidera vers ce que nous pouvons réellement accomplir pour réduire l’impact de la surcharge informationnelle sur nos vies quotidiennes.
PAUSE
L’INFORMATION ET LA COMMUNICATION SONT GRATUITES, MAIS ELLES COÛTENT CHER
par Jan Vanthienen, professeur de gestion de l’information, Université catholique néerlandophone de Louvain (KU Leuven), Faculté des Sciences économiques et de gestion, groupe de recherche en informatique des affaires
L’émergence de l’information omniprésente, de la communication mobile, du « big data » et de l’accessibilité permanente donnent l’impression que nos problèmes d’information appartiennent au passé. Rien n’est moins vrai. La surcharge informationnelle et l’excès de communication menacent plus de devenir un problème pour la productivité qu’une solution. Il y a un besoin urgent d’une meilleure gestion de l’information et de la communication. Cette présentation abordera douze recommandations pour un meilleur usage de l’information et pour l’utilisation productive des nombreuses nouvelles possibilités offertes.
NUMÉRISER LE PATRIMOINE. DE L’UTOPIE À LA RÉALITÉ : LES PROCESSUS EN QUESTION
par Frédéric Lemmers, responsable de la numérisation des collections, Bibliothèque royale de Belgique, Bruxelles
Par ses activités de numérisation, le secteur du patrimoine contribue lui aussi à la surcharge informationnelle engendrée par la société de l’information. En effet, le danger est grand de déverser sur la toile des contenus numérisés constitués en vrac. Il s’impose donc de proposer des corpus cohérents basés sur des critères de sélection pertinents. Dans notre communication, nous illustrerons les difficultés posées au quotidien par la poursuite de cet objectif au départ de l’exemple du projet « Europeana Collections 1914-1918 » dont l’aspiration principale est de numériser et de publier sur Europeana à l’horizon 2014 une sélection d’environ 400 000 documents relatifs à la Première Guerre mondiale en provenance des collections de dix bibliothèques nationales. Cette approche nous permettra de souligner la difficulté d’effectuer des sélections tout à la fois judicieuses et représentatives d’une thématique donnée, compte tenu des contingences pratiques imposées par la mise en œuvre effective de tels projets.
CLÔTURE
par Christopher Boon, président de l’ABD-BVD
RÉCEPTION
Organisé avec le soutien de
Programme
MATIN
Modératrice : Elena Phalet, Collaboratrice scientifique au Service d’Information Scientifique et Technique, Bruxelles
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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE
Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), représenté par Frédéric Lemmers,
et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2012
LES RÈGLES ACTUELLES SUR LE DROIT D’AUTEUR ET LE DÉFI NUMÉRIQUE
par Pierre-Yves Andrau, legal officer European Commission, DG Internal Market, Copyright Unit, Brussels
L’amélioration du cadre juridique actuel entend répondre au défi numérique qui se caractérise par une convergence accrue des différents supports et plateformes contribuant ainsi à une distribution des contenus instantanée et globale. La Commission européenne développe une stratégie en faveur du droit d’auteur afin de favoriser la créativité et le marché intérieur numérique.
DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS RELATIFS AUX DROITS D’AUTEUR – UNE PRÉSENTATION GÉNÉRALE
par Fabienne Brison, advocaat, partner Hoyng Monegier LLP, professor VUB en HUB, Brussel
Une présentation générale de la situation actuelle et des développements récents les plus pertinents dans la législation européenne et (surtout) la jurisprudence relative au droit d’auteur comme introduction au cadre général pour les sujets particuliers qui seront ensuite traités.
PAUSE
WEB 2.0 : NOUVEAUX USAGES, NOUVEAUX DROITS ?
par Michèle Battisti, veille juridique, Association des professionnels de l’information et de la documentation (ADBS), Paris (France)
Révision drastique ou simple évolution du droit ? La question s’impose à l’heure où s’estompent les frontières entre les sphères privée et publique, les usages professionnels et non professionnels ou encore le jeu actif et passif des acteurs, remettant ainsi en question les qualifications juridiques traditionnelles. Comment réguler les tensions, particulièrement fortes en ce moment, entre la diffusion des connaissances et les modèles d’affaires, la liberté d’expression et les limites à apporter à certaines dérives ? Lois, contrats, usages : toute une panoplie de ressources juridiques peut être déployée pour faire émerger un droit 2.0 adapté à ce nouvel environnement.
BIBLIOTHÈQUES, CENTRES DE DOCUMENTATION, ARCHIVES ET LEURS COLLECTIONS : QUELQUES PROBLÈMES PATRIMONIAUX
par Bert Demarsin, vice-decaan Faculteit Rechten HUBrussel, geaffilieerd onderzoeker KULeuven, coördinator Art Law & Management Research Programme, Leuven
Les bibliothèques, centres de documentation et archives ne doivent pas uniquement tenir compte de problèmes de propriété intellectuelle, mais de plus en plus des questions de pur droit de la propriété se présentent. C’est ainsi que se pose la question des droits patrimoniaux des pièces de collection. Dans son prolongement, on peut également se poser la question de la mesure dans laquelle d’autres personnes peuvent faire valoir des revendications, telles les auteurs, leurs héritiers, les personnes représentées dans certaines œuvres ou les objets qu’ils ont créés. Enfin, Il faut trouver une réponse à la question de savoir comment l’on peut, en tant qu’institution réceptrice d’une collection, s’assurer contre cela de manière adéquate.
LUNCH
APRÈS-MIDI
Modérateur : Philippe Laurent, coordinateur Echosdoc, Bruxelles
REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION
par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD
Lauréate : Joëlle Sallets (Master en sciences et technologies de l’information et de la communication de l’ULB)
Titre du mémoire présenté : La problématique des adresses spatiales dans les bases de données administratives.
LES OEUVRES ORPHELINES : VERS UNE SOLUTION EUROPÉENNE ?
par Joris Deene, advocaat Everest, gastdocent UGent, SA&S, Gent
Le 24 mai 2011, la Commission européenne a déposé une proposition de directive relative à certaines utilisations autorisées d’œuvres orphelines. Une deuxième version du projet a été publiée le 12 février 2012, et une troisième est en préparation. La Commission européenne veut ainsi créer une sécurité juridique pour les organisations culturelles dans le cadre de projets de numérisation et d’ouverture. La proposition se base sur une recherche soigneuse des ayants-droit et sur une reconnaissance réciproque des solutions nationales pour les œuvres orphelines. Pendant cette présentation, on débattra du contexte et du contenu de la proposition de directive. Sur base des textes examinés, on peut déjà conclure que cette proposition présente un déficit tant par sa portée que par son contenu.
PAUSE
15 ANS PLUS TARD : LE DROIT D’AUTEUR ET LE DROIT SUI GENERIS SUR LES BASES DE DONNÉES : SUCCÈS OU ÉCHEC
par Estelle Derclaye, associate professor, Faculty of Law, University Park Nottingham (UK)
L’exposé débutera par une présentation du droit d’auteur et sui generis sur les bases de données y compris les décisions de la Cour de justice de l’Union européenne et des juridictions belges les plus récentes. Il critiquera ensuite la directive sur les bases de données et les décisions qui l’ont interprétée depuis l’adoption de la directive en 1996.
ÉDITEURS ET BIBLIOTHÉCAIRES : UN DESTIN NUMÉRIQUE COMMUN OU NON ?
par Anne Bergman-Tahon, director of the Federation of European Publishers, Brussels
Dans l’environnement numérique, tout est appelé à être modifié, renouvelé et en même temps, les rôles de l’éditeur et du bibliothécaire dans la sélection et la mise en adéquation avec le lecteur me paraissent assez proche de ceux qu’ils endossent à l’heure actuelle. Alors, qu’est-ce qui change ? comment préserver un équilibre ? comment travailler de concert sans se parasiter ? Des nouvelles approches sont envisagées, font l’objet d’expériences et leurs résultats doivent être ensuite étudiés.
INDEX OR FOOTNOTE? HOW TO ENSURE THAT LIBRARIES POWER THE INFORMATION SOCIETY?
par Vincent Bonnet, director EBLIDA, The Hague (The Netherlands)
L’IFLA a élaboré une proposition de traité international sur les limitations et exceptions au copyright pour les bibliothèques et archives et a entrepris une campagne de promotion de ce traité auprès des États membres de l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle. EBLIDA soutient le projet au niveau européen. Alors que le copyright devient une question prégnante, notamment dans le monde numérique, il est important que les associations de bibliothèques et d’archivistes groupent leur force avec des associations travaillant sur des problématiques similaires ainsi qu’avec des associations de consommateurs. Le 30 mai 2012, plusieurs de ces associations organisent une conférence au Parlement européen afin d’attirer l’attention des décideurs politiques sur ce sujet.
CLÔTURE
par Christopher Boon, président de l’ABD-BVD
RÉCEPTION
Organisé avec le soutien de
Programme
MATIN
Modératrice : Evelyne Luctkens, project & bid manager International Organisations, I.R.I.S. Solutions & Experts S.A., Louvain-la-Neuve
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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE
par Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), représenté par Marc D’Hoore,
et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2011
OAI-PMH FOR DUMMIES : COMMENT METTRE EN PLACE UN DÉPÔT INSTITUTIONNEL AVEC DES RESSOURCES LIMITÉES ? UNE ÉTUDE DE CAS
par Patrice X. Chalon, knowledge manager, Centre fédéral d’expertise des soins de santé, Bruxelles
En 2006, le KCE, institution fédérale belge nouvellement créée, a évalué l’opportunité de mettre en place un dépôt institutionnel répondant au standard d’interopérabilité OAI-PMH. Dans cet exposé, nous décrivons comment et pourquoi, le KCE a développé un dépôt institutionnel au départ de son Système Intégré de Gestion de Bibliothèque (SIGB). Nous discutons également le défi que représente la mise en place de méta-dépôts (agrégateurs), avec deux exemples : belge et européen.
PAUSE
LA BIBLIOTHÈQUE SUR TWITTER
par Wilma van den Brink, informatiespecialist Maatschappij en Recht, Hogeschool Amsterdam (Pays-Bas)
Twitter semble le nouveau moyen miracle pour entrer en contact et forger des liens avec le groupe cible. De ce fait le nombre de bibliothèques qui ouvrent un compte Twitter est en forte augmentation. Mais ces espérances sont-elles atteintes ? La présentation traitera des idéaux et des résultats réels des bibliothèques nationales et internationales sur Twitter. Ensuite on se concentrera sur les facteurs de succès du Musée Boerhave sur Twitter et l’on verra dans quelle mesure les bibliothèques peuvent tirer des leçons de l’approche virtuelle des clients par le monde du musée. A la fin de la présentation, on esquissera une image réaliste de l’utilisation de Twitter comme moyen de communication par les bibliothèques à l’époque actuelle et l’on fournira des fils conducteurs pratiques pour le futur.
LES NOUVEAUX USAGES NUMÉRIQUES : LES SERVICES QUESTIONS/RÉPONSES VIRTUELS
par Jean-Philippe Accart, directeur des études, Master of Advanced Studies in Archives, Library and Information Science, Universités de Berne et de Lausanne (Suisse)
L’usager numérique est une des composantes actuelles du paysage professionnel des documentalistes et des bibliothécaires : de plus en plus présent sur Internet, il est essentiel qu’il trouve une réponse – virtuelle – si le besoin s’en fait sentir. Les services Questions/Réponses en ligne qui se développent à l’heure actuelle sont une réponse possible de la part des bibliothèques et des services de documentation et pourquoi pas d’archives. Poursuivre la relation de service créée avec l’usager de manière virtuelle est un des défis actuels pour les professions de l’information. Cette présentation aborde ces sujets, en dressant également un panorama de l’environnement numérique.
LUNCH
APRÈS-MIDI
Modératrice : Sylvia Van Peteghem, hoofdbibliothecaris Universiteit Gent
REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION
par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD
Lauréat : Benjamin Peiffer, Bachelier en bibliothéconomie à la Haute école de la Province de Liège
Titre du mémoire présenté : Mise à jour et révision de l’édition abrégée de la classification décimale universelle en vue d’une réédition.
“CLOUD COMPUTING” POUR LES BIBLIOTHÈQUES
par Annette Dortmund, product manager OCLC, Oberhaching (Allemagne)
De plus en plus d’applications deviennent disponibles, dans des domaines divers – le “cloud computing” est devenu une expression connue. Mais est-il également utile pour les bibliothèques de mettre leurs systèmes de gestion et leurs données en ligne ? Quels avantages ce nuage offre-t-il lorsqu’il s’agit d’applications web pour la gestion de la bibliothèque ou les services aux utilisateurs? Et quelles sont pour une bibliothèque les nouvelles opportunités de coopération et de réseau que cette technologie apporte ? La présentation donne une vue générale des développements et des considérations dans le domaine du “cloud computing” pour les bibliothèques et indique quels bénéfices cette nouvelle génération d’applications bibliothéconomiques peut nous offrir.
PAUSE
CODES QR. UN GADGET OU UN NOUVEL OUTIL ?
par Philippe Allard, chef de projet GIAL, chargé de gestion site web de la Ville de Bruxelles, journaliste
Créé au Japon en 1994, le code QR se répand en Europe. S’agit-il d’un simple gadget dont usent les publicitaires et autres communicateurs pour attirer le geek ? Ou ce code 2D peut-il être concrètement utilisé dans nos bibliothèques et centres de documentation pour livrer une information enrichie ?
CLÔTURE
par Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2011
QUAND L’INTERNET DES OBJETS RENCONTRE CELUI DES GENS, OU LES SERVICES « INVISIBLES » DE SYSTÈMES INTELLIGENTS
par Hans Appel, professor Computer Science & Sensor Technology, Hanze University of applied sciences, Groningen (Pays-Bas)
Nous sommes en 2011, nous laissons derrière nous la vieille et traditionnelle automatisation administrative et nous sommes ouverts à de nouvelles idées fraîches. De nos jours, chaque nouveau produit, chaque nouveau service contient à peu près un élément qui a à voir avec les technologies de l’information et de la communication. Nous fonçons de plus en plus vers un monde de systèmes intelligents et sensibles à l’environnement. Les ordinateurs pénètrent plus avant dans la capillarité de la société. Les ordinateurs reçoivent des sens, ils apprennent à sentir. Un monde de communautés et de foules (NOUS sommes plus futés que MOI), avec des senseurs et des déclencheurs. Un monde qui est agréable, attirant et où l’on se sent invité à être en contact avec la passion de l’orateur : « computer since ». Nous allons explorer ce monde. Regarder ce que l’on innove et comment, et ce que cela signifie pour nous tous. Pour nos occupations de tous les jours, mais aussi pour les possibilités futures. « Thinking out of the box » est le thème du jour !
Initialement prévu à 14h, l’exposé n’a pas pu avoir lieu.
RÉCEPTION
Organisé avec le soutien de
Programme
MATIN
Modératrice : Trudi Noordermeer, hoofdbibliothecaris Universiteit Antwerpen
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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE
par Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),
et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2010
FROM PRINT JUNGLE TO A NO SHELF LIBRARY – CREATING A HIGH PERFORMING LIBRARY FUNCTION THAT ADDS VALUE, DRIVES ORGANIZATIONAL CHANGE AND GENERATES SUCCESS
par Andrew Clark, group leader, UCB Library Services, Braine-l’Alleud
Strategic library planning and the need to maximize the value of both the content and the services delivered by the library is essential to ensuring that any specialist library doesn’t remain static but is an invaluable high performing asset to the corporation that continues to meet the growing information needs of library users and corporate executives. During the last 18 months the UCB library function has strategically and successfully transitioned itself from being a static and somewhat archaic function to a dynamic value adding facility that is highly respected by all areas of the business. Find out how this has been achieved and be inspired by success.
PAUSE
LA BIBLIOTHÈQUE UNIVERSITAIRE DE LA K.U.LEUVEN ÉVALUE SA PRESTATION DE SERVICE
par Werner Beyens, teamleider, Publieke Diensten Centrale Bibliotheek K.U.Leuven
En 2008 la bibliothèque universitaire de la K.U.Leuven a invité tous les étudiants et les membres de son personnel à participer à l’enquête LibQUAL+. Cette enquête qualité orientée bibliothèque mesurait la perception que les clients ont de ses produits et services. L’information que nous récoltons grâce à cette enquête est précieuse lorsque nous élaborons les futurs services des bibliothèques en soutien à la recherche et à l’enseignement.
LA BIBLIOTHÈQUE DE VLISSINGEN FAIT LA DIFFÉRENCE : LA MÉDIATION D’INFORMATION DANS LA SOCIÉTÉ GOOGLE
par Karolien Selhorst, beleidsmedewerker, Digitale Bibliotheek & Kennismanagement OB Vlissingen (Nederland), hoofdredacteur Digitale Bibliotheek, zelfstandig adviseur
La satisfaction des usagers semble généralement être la mesure de la qualité et de la pertinence des actions menées pour eux. L’exposé portera sur le concept même de la satisfaction : est-il aussi simple qu’il y paraît et traduit-il bien ce que l’on cherche à verifier ? Ensuite on examinera les principes des méthodes de la mesure de la satisfaction des usagers, leurs intérêts et leurs limites. Enfin des exemples d’études de satisfaction seront présentés ainsi que les conclusions que l’on peut en dégager.
LUNCH
APRÈS-MIDI
Modérateur : Vincent Maes, président de l’ABD-BVD
par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD
Lauréate : Lorraine Smal, Bachelière en bibliothéconomie et documentation diplômée par la Haute Ecole Paul Henri Spaak (Bruxelles)
FORMER LES ÉTUDIANTS À LA MAÎTRISE DE L’INFORMATION : UN RÔLE MAJEUR DES BIBLIOTHÈQUES UNIVERSITAIRES. MAIS QUELS SONT LES ATTENTES EN LA MATIÈRE
par François Frédéric, Coordinateur du Groupe Formation des Utilisateurs, Archives et Bibliothèques de l’ULB, Bruxelles
Les bibliothèques universitaires se préoccupent depuis longtemps de la formation de leurs usagers à la maîtrise de l’information. Cette tâche connaît un essor important avec le développement des technologies de l’information et de la communication. Divers référentiels de compétences ont été publiés ces dernières années ; ils guident la construction des programmes de formation documentaire dans les universités. Cependant, la responsabilité de la formation n’incombe pas exclusivement aux seuls bibliothécaires, elle doit être partagée entre ceux-ci et les enseignants car la compétence documentaire est au cœur de la formation universitaire et ne se réduit pas à de simples aptitudes techniques. Compétence intellectuelle, méthodologique et technique, elle prend place dans le bagage attendu d’un universitaire diplômé. Mais quelles sont les attentes du monde professionnel en la matière ?
UNE PROFESSION, DES MÉTIERS (PANEL)
Face à l’évolution rapide des technologies et des outils disponibles, va-t-on assister à un rapprochement, ou au contraire à une fragmentation plus accentuée, des différents métiers exercés par les profesionnels de l’information ? La numérisation croissante et de là, la dématérialisation des documents que nous traitons concernent-elles tous nos métiers de façon identique ? Nos différences se marqueront-elles davantage dans la nature des publics servis que dans l’exercice de nos métiers ? Quelles seront les conséquences de cette évolution sur nos besoins en formation ? Sommes-nous, gens de métier, ouverts aux rapprochements que nous offre la technologie ?
avec Katrien Bergé, Directrice, Bibliothèque universitaire Moretus Plantin (FUNDP), Namur
Stéphane Dessicy, Directeur, réseau des bibliothèques de Schaerbeek
Marie-Laurence Dubois, Coordinatrice, Centre de documentation et du centre d’archives privées, Etopia, Namur
Marjan Grootveld, Senior adviseur, onderzoeker, Zenc – Focus op oplossingen, Den Haag (Nederland)
Philippe Laurent, Coordinateur, EchosDoc, Bruxelles
Philippe Van Espen, Verantwoordelijke documentatie, Vivaqua, Bruxelles
CLÔTURE
par Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2010
RÉCEPTION
Organisé avec le soutien de
Programme
MATIN
Modérateur : Patrick Vanouplines, Hoofdbibliothecaris Vrije Universiteit Brussel
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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE
par Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),
Vincent Maes, président de l’ABD-BVD,
et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2009
INFORMER ET INSPIRER – PRENDRE L’INFORMATION AU SERIEUX
par Rik Maes, Hoogleraar informatie- en communicatiemanagement, Universiteit van Amsterdam, Pays-Bas
Lors de la dernière décennie, nous avons été fort occupés à donner forme à la fourniture d’information. Des développements récents dans l’informatique nous incitent à jouer un rôle plus proactif en tant que gestionnaires de l’information. Un vibrant plaidoyer pour “inspirer” plutôt que”informer” et une recherche basée sur la curiosité quant à la manière dont nous pouvons remplir ce nouveau rôle.
PAUSE
LA NÉGOCIATION INFORMATIONNELLE ENTRE L’USAGER ET LE DOCUMENTALISTE-BIBLIOTHÉCAIRE
par Yves-François Le Coadic, Professeur émérite de Science de l’information au Conservatoire National des Arts et Métiers et responsable du Séminaire doctoral dans cette discipline à l’Université de Marne-la-Vallée, France
La satisfaction du besoin d’information des usagers des services d’information est l’alpha et l’oméga des métiers de l’information et de la documentation. Pour l’atteindre, une difficile négociation doit s’effectuer. On l’étudiera pas à pas à travers l’analyse des interactions informationnelles des usagers avec les documentalistes-bibliothécaires et/ou avec les systèmes électroniques d’information.
LA SATISFACTION DES USAGERS
par René Patesson, Professeur à l’Université Libre de Bruxelles, Directeur du Centre de Psychosociologie de l’Opinion
La satisfaction des usagers semble généralement être la mesure de la qualité et de la pertinence des actions menées pour eux. L’exposé portera sur le concept même de la satisfaction : est-il aussi simple qu’il y paraît et traduit-il bien ce que l’on cherche à verifier ? Ensuite on examinera les principes des méthodes de la mesure de la satisfaction des usagers, leurs intérêts et leurs limites. Enfin des exemples d’études de satisfaction seront présentés ainsi que les conclusions que l’on peut en dégager.
LUNCH
APRÈS-MIDI
Modérateur : Paul Thirion, Directeur général du Réseau des bibliothèques de l’Université de Liège
par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD
LE NETWORKING SOCIAL COMME OUTIL D’INFORMATION BUSINESS
par Arthur Weiss, Managing partner, Aware, Stanmore, Middlesex, Royaume-Uni
Le public voit le networking social comme une activité de jeunes ou centrée sur les adolescents. En fait, il y a plusieurs manières dont les entreprises peuvent bénéficier de tels outils. Ceux-ci incluent les réseaux de groupes de pairs ainsi que beaucoup d’autres utilisations qui vont de la recherche de partenaires d’affaires aux chasseurs de tête chez les concurrents en passant par la recherche de marchés. Il y a aussi des dangers, à la fois pour les sociétés et pour les participants au site. Cependant les sites de networking social ne devraient pas être ignorés – ils risquent de devenir de plus en plus importants comme moyen de communication avec tous types de contact dans un futur proche.
PAUSE
SPOETNIK
par Alice Doek, Hoofd informatiediensten, bibliotheek Universiteit van Amsterdam, Pays-Bas
La bibliothèque de l’université d’Amsterdam a offert en 2008 à ses collaborateurs un cours online sur les nouvelles applications web sous le nom de Spoetnik. C’était un arrangement propre de ”23things”. Plusieurs dizaines de collaborateurs ont grâce à Spoetnik acquis une connaissance pratique et ont réfléchi à, entre autres, blogging, RSS, wikis, au bookmarking social et à la manière dont la bibliothèque peut utiliser ces techniques dans ses prestations de service. Dans cette présentation, Alice Doek approfondira le programme Spoetnik et ce qu’il a généré.
LA FORMATION À LA MAITRISE DE L’INFORMATION, SOCLE DES SOCIÉTÉS DU SAVOIR
par Abdelaziz Abid, Consultant UNESCO, Paris, France
Tout au long de la vie, plus on apprend et plus on connaît, mais surtout plus vite on maîtrise et acquiert des capacités, habitudes et attitudes d’apprentissage efficaces plus on maîtrise l’information. L’aptitude à utiliser ces capacités, habitudes et attitudes permet de prendre des décisions judicieuses sur les plans personnel et familial comme sur les plans de la santé et du bien-être, de l’éducation, de la citoyenneté et de l’emploi. La formation à la maîtrise de l’information constitue une compétence clé dans l’environnement changeant et compétitif du 21ème siècle. Elle constitue le socle des sociétés du savoir que l’UNESCO promeut depuis le Sommet mondial sur la société de l’information.
CLÔTURE
par Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2009
RÉCEPTION
Organisé avec le soutien de
Programme
MATIN
Modérateur : Julien Van Borm, bibliothécaire principal honoraire de l’Université d’Anvers
ACCUEIL
INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE
par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),
et Paul Heyvaert, président de l’ABD-BVD
FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUÉE: PRINCIPES ET BONNES PRATIQUES
par Jana Varlejs, professeur associé de la Rutgers School of Communication, Information and Library Studies (SCILS), New Jersey, États-Unis
Une section de l’FLA a rédigé un manifeste pour la qualité du développement professionnel et l’apprentissage sur le lieu de travail. Il est maintenant nécessaire de trouver un moyen pour sécuriser l’engagement des professionnels de la documentation et des bibliothèques ainsi que de leurs institutions et associations, en faveur de ces recommandations et de leur implémentation.
PAUSE
LA DÉMARCHE QUALITÉ DANS LES MÉTIERS DE L’INFORMATION: CONTRAINTE OU RESSOURCE
par Marc Impe, président du conseil d’administration du Service pour la transformation, l’innovation et le changement social (STICS), Bruxelles
Comment positionner une démarche qualité dans les métiers de l’information? Démarche normative ou souci du service clients? « La petite maison de la grande qualité » : les piliers d’une démarche. Caler la démarche qualité sur le processus. L’implantation en douceur d’une démarche qualité.
LA CARTE DE L’INFORMATION: L’INFORMATION COMME ÉLEMENT STRATÉGIQUE DE L’ORGANISATION
par Jan Van Hee, administrateur délégué, senior advisor de Maarifa, Berlare
La gestion de l’information d’une organisation devient de plus en plus complexe. Au moyen de prouesses technologiques, on essaie d’offrir des solutions toutes faites. La plupart de ces projets échouent parce que la réalisation d’un audit d’information a été négligée. Des exemples nous conduisent à cet audit d’information qui se termine par une “carte de l’information” : un schéma qui permet la compréhension des besoins en information, des flux d’information et de leur stockage dans l’organisation.
LUNCH
APRÈS-MIDI
Modérateur : Jean Moulin, directeur du Service d’Information Scientifique et Technique
LA CoP (communauté de pratique) OUTIL DE COLLECTE ET DE PARTAGE DES BONNES PRATIQUES
par Jean-Louis Janssens, knowledge & communication manager, SUEZ University, Bruxelles
Le partage de la connaissance est de plus en plus impérieux dans un monde toujours plus global, plus concurrentiel, plus complexe. Quelles pistes privilégier dans les entreprises, organisations, associations pour faciliter l’échange des bonnes pratiques. Retour d’expérience de l’approche « CoP KM » conduite dans le groupe SUEZ.
PAUSE
BONNES PRATIQUES POUR L’INFORMATION DES COLLECTIONS MUSÉALES
par Wilbert Helmus, chef de service de la gestion de collection et des connaissances du Friesch Museum et du Nationaal Keramiekmuseum Princessehof, Leeuwarden, Pays-Bas
Les musées disposent de riches quantités d’information et souhaitent que leur fourniture d’informations corresponde aux souhaits du public. Quelles tendances apparaissent sur le terrain de l’information des collections de musées? Quelle place les normes telles que PECTRUM-N prennent-elles dans les bonnes pratiques du terrain de l’héritage culturel? On abordera aussi l’intérêt de la conservation des données et les différentes formes qu’elles peuvent prendre dans les musées.
BONNES PRATIQUES POUR LA RÉALISATION D’UNE BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
par Andrea Simmons, product manager d’ Integrated New Media (INM), Montréal, Canada
Un des plus grands défis que rencontrent aujourd’hui les gestionnaires de l’information est d’organiser et de présenter de très gros volumes d’information sur le web. Cette session sera consacrée au rôle de la bibliothèque numérique qui met en ligne des contenus très importants pour que de nombreux utilisateurs puissent les utiliser et y effectuer des recherches. Les principaux sujets couverts seront : les besoins de base, trucs et astuces, exemples et facteurs importants à prendre en compte.
CLÔTURE
RÉCEPTION
Organisé avec le soutien de
Programme
MATIN
ACCUEIL
INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE
par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),
et Paul Heyvaert, président de l’ABD-BVD
UN APERCU DE QUELQUES NOUVELLES TECNHOLOGIES ET DE LEUR PERTINENCE POUR LES PROFESSIONNELS DE L’INFORMATION
par David Tebbutt, consultant indépendant, Royaume-Uni
David Tebbutt s’intéresse aux logiciels depuis plus de 40 ans et, en tant que journaliste s’adressant aux professionnels de l’information, il suit de près les nouveaux développements qui peuvent être intéressants pour la profession. Mais qu’entend-t-on par « nouvelles technologies » ? David Tebbutt essaiera de répondre à cette question en nous donnant une vue d’ensemble des technologies à présent disponibles. Il nous expliquera également quels sont les avantages et les inconvénients de leur utilisation dans le cadre de bibliothèques ou de centres de documentation.
UN REGARD CRITIQUE SUR LES NOUVELLES TECHNIQUES DE CLASSIFICATION
par Céline Van Damme, assistante de recherche, Studies in Mathematics, Operational research, Statistics and Information systems (MOSI), Vrije Universiteit Brussel
Le World Wide Web a connu une véritable explosion de publications ces dernières années. Cela complique fortement le processus de recherche d’information. Afin de résoudre ce problème, on voit de plus en plus apparaître de nouvelles techniques de classification sur le web: « folksonomies » et ontologies. Celles-ci seront expliquées pendant la présentation et comparées aux techniques de classification traditionnelles des documentalistes.
PAUSE
DÉBAT
animé par Jean Michel, ingénieur consultant indépendant, Jean MICHEL Conseil, France
REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION
par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD
Lauréate : Virginie Tacq, Bachelière en bibliothéconomie et documentation diplômée par la Haute Ecole Léon-Eli Troclet (Liège)
LUNCH
APRÈS-MIDI
LA MATURITÉ DES LOGICIELS LIBRES DANS LE CADRE DES ORGANISATIONS AU SENS LARGE
par Diane Revillard, directrice de projets, Di&Mark
Le secteur de l’informatique connaît actuellement des mutations très significatives dans son mode de fonctionnement, ses marchés et ses offres. Ces bouleversements sont en grande partie induits par des logiciels libres. Longtemps confinés au monde scientifique et aux grandes administrations, l’organisation au sens large y a désormais recours car leur maturité n’est plus à prouver. Les logiciels libres s’inscrivent dans une stratégie durable de l’organisation : l’implication importante des acteurs majeurs de l’internet à leur égard renforce encore leur potentiel de développement.
WEB 2.0 OU COMMENT UN RÉSEAU AIDE À COMBATTRE L’AVALANCHE D’INFORMATIONS QUE LES UTILISATEURS RECOIVENT
par Kristof Michiels, chercheur, Studies on Media, Information & Telecommunication (SMIT), Vrije Universiteit Brussel
Le Web 2.0 fait du public à la fois un producteur et un consommateur. Auparavant, la publication de contenu sur le web passait par un système de diffusion « one-to-many » (de un à plusieurs), via la communication d’informations à des individus. Le Web 2.0 fait davantage que fournir de l’information : il facilite un modèle conversationnel « many-to-many » (de plusieurs à plusieurs) entre individus, sans médiation rigide ou sans le contrôle d’organisations. Ceci permet de fournir une quantité importante de contenu généré par les utilisateurs. Pensons un instant à l’encyclopédie Wikipédia, créée par des utilisateurs finaux. Cette collaboration implicite entre utilisateurs est aussi employée dans de nombreux cas pour structurer l’offre et faciliter le plus possible le processus de recherche. Dans sa présentation, Kristof Michiels développera à l’aide de nombreux exemples la manière dont cela se passe dans le monde du Web 2.0. Il s’attardera également sur les possibilités et les conséquences que tout cela a pour les institutions traditionnelles telles que les bibliothèques et les centres de documentation.
PAUSE
DÉBAT
animé par Inge Van Nieuwerburgh, coordinatrice de la bibliothèque digitale, Universiteit Gent
ET NOUS DANS TOUT CA?
session interactive animée par Inge Van Nieuwerburgh, coordinatrice de la bibliothèque digitale, Universiteit Gent,
et Jean Michel, ingénieur consultant indépendant, Jean MICHEL Conseil, France.
Comment nous situons-nous par rapport à ces technologies ? Sont-elles à notre portée, nous qui ne sommes que de simples utilisateurs, généralement formés sur le tas, et simplement armés de notre curiosité professionnelle et d’un sens critique parfois exacerbé ? Nous reconnaissons-nous en ce documentaliste 2.0 ? S’agit-il toujours du même métier ? Ne sommes-nous pas les mieux placés pour donner un avis sur une profession en mutation perpétuelle? Partageons nos expériences, nos déceptions et nos espoirs aussi !
RÉCEPTION
Programme
MATIN
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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE
par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),
Philippe Laurent, président de l’ABD-BVD,
et Vincent Maes, coordinateur de l’Inforum 2006
SERVICES D’INFORMATION ET CLIENTÈLES : LE RÔLE DU MARKETING
par Réjean Savard, professeur titulaire, École de bibliothéconomie et des sciences de l’information (EBSI), Université de Montréal, Canada
Qu’est-ce vraiment que le marketing ? Comment peut-il aider les bibliothèques et les centres de documentation ? Comment l’utilise-t-on un peu partout dans le monde ? Quelles sont les implications de son utilisation pour les gestionnaires de services d’information ? Au programme : définitions, aspects théoriques, aspects pratiques. Un tour d’horizon du marketing des services d’information.
DÉTERMINER LES BESOINS EN INFORMATION DANS LE CADRE D’UNE ENTREPRISE
par Mia Brugmans, Business Intelligence, Inbev
Un sondage pour déterminer les besoins en information d’une institution peut être une entreprise considérable, mais cela peut également être réalisé à une échelle déterminée ou consister en une suite de sondages de moindre importance. Quelles sont les principales raisons qui poussent à réaliser un tel sondage de nos jours ? L’organisation ou la ré-organisation de bibliothèque ou de service d’information, la gestion des connaissances, l’intranet, la gestion (électronique) des documents et des archives, la protection des données. Au moyen d’exemples, on montrera comment la théorie peut être mise en pratique.
VERS UNE CERTIFICATION EUROPÉENNE DANS LE SECTEUR DE L’INFORMATION ET DE LA DOCUMENTATION : UN AVANTAGE POUR LE CLIENT (NL)
par Marc Van den Bergh, administrateur de l’ABD-BVD, membre du jury CERTIDOC
Dans plusieurs pays européens, il existe une tendance à valider les compétences professionnelles, et à ne plus se baser uniquement sur le diplôme. Pour une partie importante du secteur de l’information et de la documentation, le Consortium CERTIDOC a finalisé un Euroréférentiel, applicable dans plusieurs pays européens. L’Association Belge de Documentation y a collaboré et participe aux jurys de certification de différents niveaux (assistant, technicien, manager, expert).
PAUSE
DÉBAT
animé par Dirk Van Eylen, conseiller en gestion des connaissances, Service Public Fédéral Personnel et Organisation – Gestion des connaissances
LUNCH
APRÈS-MIDI
LA VISIBILITÉ ET LE MARKETING DE LA DOCUMENTATION EN SANTÉ
par Llewellyn Losfeld, documentaliste-webmaster au FARES (Fonds des Affections RESpiratoires)
Depuis des décennies maintenant, les centres de documentation et les bibliothèques spécialisés en santé font partie du quotidien des chercheurs et des étudiants. Face à l’instabilité liée au manque de financement se retrouve néanmoins une qualité intrinsèque à notre profession et (presque) inépuisable : notre souhait constant de susciter l’apprentissage des connaissances des utilisateurs. De cette envie naît la volonté commune de développer et d’enrichir nos expériences via des réseaux documentaires. Mais entre cet idéal et la réalité du quotidien existe un énorme fossé. Si la visibilité est bel et bien nécessaire, la reconnaissance et le succès qu’elle peut générer entraînent parfois des difficultés. Face aux nombreux changements affectant son environnement, le bibliothécaire doit perpétuellement se remettre en question.
GAGNER DES CLIENTS, UNE QUESTION DE CHOIX !
par Bart van der Meij, directeur de projets, Reekx, Pays-Bas
L’environnement dans lequel opèrent les bibliothèques, les centres de documentation ou d’information devient de plus en plus complexe, avec davantage de concurrence, de nouvelles techniques, de clients qui s’émancipent etc. Tout ceci entraîne des conséquences importantes pour la position du service au sein de son institution ou de son marché. Le positionnement et les attentes en matière de prestations sont remis en question. Dans beaucoup de cas, on s’aperçoit qu’existent, ou qu’apparaissent, le besoin d’un service nouveau ou renouvelé, l’envie de produits et de services autres ou améliorés, de nouveaux processus de travail, de nouveaux groupes-cibles ou marchés et surtout des spécialistes de l’information d’un autre genre. En fonction de différents thèmes de marketing et d’exemples tirés de sa pratique comme consultant, Bart van der Meij vous aide à trouver vous-même le bon chemin; il éclaire les concepts du marketing orienté client, il joue l’avocat du diable et confronte les auditeurs à leur propre clientèle.
PAUSE
CLIENT DIFFICILE ? QUE SE PASSE-T-IL ?
par Marc De Tienne, learning advisor au FOPAS, Fonds de promotion de l’emploi et de la formation dans le secteur de l’assurance, formateur de Junior Chamber International (JCI)
“Cela fait trois semaines que j’attends la documentation que vous m’aviez promise dans ‘les trois jours’ !!” Incompréhension ? Malentendu ? Mauvaise foi ? Au cours de cet exposé, nous examinerons les différents types de clients difficiles et les raisons qui nous les font passer pour tels. La prise de conscience de la nature du décalage entre le client et nous, nourrira les pistes de solution pour établir une relation plus harmonieuse. Nous verrons donc les outils et les étapes de communication utiles pour aider progressivement le client à revenir sur une position plus appropriée à la discussion.
VERS UNE CERTIFICATION EUROPÉENNE DANS LE SECTEUR DE L’INFORMATION ET DE LA DOCUMENTATION : UN AVANTAGE POUR LE CLIENT (FR)
par Isabelle Somville-Cornet, administratrice de l’ABD-BVD, membre du jury CERTIDOC
Dans plusieurs pays européens, il existe une tendance à valider les compétences professionnelles, et à ne plus se baser uniquement sur le diplôme. Pour une partie importante du secteur de l’information et de la documentation, le Consortium CERTIDOC a finalisé un Euroréférentiel, applicable dans plusieurs pays européens. L’Association Belge de Documentation y a collaboré et participe aux jurys de certification de différents niveaux (assistant, technicien, manager, expert).
DÉBAT
animé par Michel Dorban, professeur; responsable de la section bibliothèques, maîtrise en science et technologies de l’information, UCL
RÉCEPTION
Programme
MATIN
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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE
par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),
et Philippe Laurent, président de l’ABD-BVD
ENTERPRISE CONTENT MANAGEMENT, HYPE OU RÉALITÉ ?
par Peter Hinssen, Business Consultancy, Amplexor
Alors que les gestionnaires d’entreprises s’enthousiasment pour l’Enterprise Content Management (ECM), les spécialistes de l’information s’interrogent. S’agit-il d’un nouveau paradigme ou du énième avatar des systèmes d’information qui leur sont familiers ? Ont-ils un rôle à jouer ? Peuvent-ils utilement faire valoir leurs compétences ? Peter Hinssen explore les différents aspects de l’ECM et nous éclaire sur les concepts que cache ce terme générique.
SÉLECTION ET ÉVALUATION DE SYSTÈMES DOCUMENTAIRES
par Vincent Maes, Business Consultant, Alliance Nationale des Mutualités Chrétiennes
Pourrions-nous satisfaire les utilisateurs de nos services d’information sans système documentaire ? Le système parfait n’existant pas, il s’agit de réduire autant que possible le risque de mauvais choix lors du long processus de sélection et d’évaluation. Sur base de l’expérience acquise lors de plusieurs projets, l’orateur en présentera une analyse détaillée des différentes étapes. Il en dégagera des recommandations pratiques pour ceux qui projettent d’adopter ce parcours.
PAUSE
DÉBAT
animé par Marcel Roofthoofd, président BELAIIM
REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION
par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD
Lauréate : Aude Alexandre, DES en Sciences et Technologies de l’Information – Université libre de Bruxelles – Section Infodoc
LUNCH
APRÈS-MIDI
LES NOUVELLES TENDANCES DES LANGAGES DOCUMENTAIRES
par Ron Davies, expert conseil indépendant
Les nouvelles applications de gestion d’information, la mondialisation de la société de l’information, la vaste gamme de ressources disponibles sur Internet et le rêve de créer un web sémantique: toutes ces évolutions ont créé de nouveaux besoins et ont fortement changé la donne pour les langages documentaires. De nouveaux types d’outils ont donc été créés, telles les taxonomies et les ontologies. L’intervenant expliquera quelle est l’influence de ces tendances sur les activités de développement ou de révision des normes nationales et internationales.
THESAURI, ONTOTHESAURI: LEUR CONSTRUCTION, LEUR MAINTENANCE ET LEUR UTILISATION
par Fernand Vandamme, The Babbage Institute for Knowledge and Information Technology (BIKIT)
L’auteur donnera un aperçu des nouveaux développements dans le domaine de la gestion du contenu, qui se basent sur une approche “thesauri” et “ontothesauri”. Quelques démonstrations mettront l’accent sur la construction, la maintenance et l’utilisation de ces systèmes.
PAUSE
EUROVOC, THÉSAURUS MULTILINGUE: MAINTENANCE ET ASPECTS PRATIQUES
par Isabelle Gautier, Comité de maintenance Eurovoc, Parlement Européen
Eurovoc, thésaurus multilingue développé par le Parlement européen, est devenu un outil documentaire de plus en plus prisé. Cet exposé présentera le thésaurus, ses spécificités et sa maintenance ainsi que son utilisation quotidienne dans le cadre de la bibliothèque du Parlement européen.
DÉBAT
animé par Corentin Roulin, Retail Business Information Manager, La Poste
RÉCEPTION
Programme
MATIN
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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE
par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),
et Philippe Laurent, président de l’ABD-BVD
SENS ET NON-SENS DE LA GESTION DES COMPÉTENCES
par Dick De Bie, conseiller didactique et publiciste, BDF Adviesgroep, Pays-Bas
D’où vient cet intérêt pour les compétences ? – Que sont au juste les compétences aujourd’hui ? – Quels en sont la raison et le non-sens ? – Que recouvrent les compétences dans l’enseignement professionnel ? – Quelles sont les conséquences pratiques des compétences pour l’apprentissage et l’enseignement (avec des exemples tirés de la formation de spécialistes de l’information et de documentalistes) ?
ÉVALUATION, GESTION ET DÉVELOPPEMENT DES COMPÉTENCES
par Monique Watelet et Elisabeth De Vos, business consultants, Mercuri Urval
Les personnes constituent la principale ressource d’une entreprise ou d’une organisation. C’est d’ailleurs la seule ressource capable de créer des résultats. Au cours des 30 dernières années, Mercuri Urval a évalué des centaines de milliers de personnes dans le cadre d’une fonction particulière ou en relation avec le développement d’une entreprise ou d’une organisation. L’intervention portera sur l’expertise développée par Mercuri Urval en matière d’évaluation, de gestion de la dynamique des fonctions et des individus, et de développement des compétences.
PAUSE
DÉBAT
animé par Dirk De Beukelaer, Information Center Manager, Agfa-Gevaert
REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION
par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD
Lauréat : Bruno Vermeeren, Universiteit Antwerpen – Informatie- & Bibliotheekwetenschap
LUNCH
APRÈS-MIDI
LES PROFILS DE COMPÉTENCES PROFESSIONNELLES DANS LE SECTEUR DE LA FOURNITURE D’INFORMATION
par Anne Roose et Leen Verachtert, collaboratrices aux profils professionnels, Sociaal-Economische Raad van Vlaanderen (SERV)
Depuis 1997, le SERV développe des profils de compétences professionnelles et, depuis 2000, des structures de professions selon une méthode développée scientifiquement et suivant un accord de collaboration avec des partenaires sociaux et des fonds d’études sectoriels, ainsi que, parfois, avec les associations professionnelles et les commissions sectorielles du SERV. Pour le secteur de la fourniture d’information aussi, une structure professionnelle et 4 profils de compétences ont été développés en 2002 et 2003. Ceux-ci seront présentés sur base de la méthodologie d’élaboration de profils professionnels.
PROFESSIONNELS DE L’INFORMATION ET DOCUMENTATION EN ESPAGNE : LE CHEMIN VERS LE SYSTÈME EUROPÉEN DE CERTIFICATION DE CERTIDOC
par Carlos Miguel Tejada Artigas, membre du comité de direction de la SEDIC (Sociedad Española de Documentación e Información Científica), représentant dans le projet CERTIDOC, Espagne
La SEDIC est une des plus importantes associations du domaine en Espagne. Depuis 1997, elle procède à travers son Service de Certification à la certification des professionnels de l’information et la documentation. Après une brève présentation de la procédure à suivre pour évaluer les connaissances des candidats (différents règlements, prérequis que doivent avoir les demandeurs, les barèmes, les organismes de certification, etc.), le point sera fait sur l’expérience acquise par la SEDIC pendant ces six années en présentant le nombre de personnes certifiées, le niveau auquel les professionnels ont postulé, le profil des demandeurs de certification, etc. En conclusion seront abordées les attentes de la SEDIC concernant le projet européen de certification CERTIDOC.
PAUSE
TECHNOLOGIES D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION (TIC) ET MÉTIERS EN ÉMERGENCE
par Marc Zune, chercheur, Laboratoire d’Etudes sur les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (LENTIC), Université de Liège
Depuis quelques années, les Technologies d’Information et de Communication (TIC) ont fortement contribué à modifier les manières traditionnelles de réaliser un certain nombre d’activités professionnelles. Le secteur de l’édition et de la documentation a ainsi été particulièrement affecté par cette évolution. Car les TIC ne sont pas seulement porteuses de nouvelles combinaisons de connaissance, de compétences et de caractéristiques de champs professionnels autrefois considérés comme distincts. Elles contribuent également à transformer les rapports à l’organisation et au marché du travail. L’intervention portera précisément sur cette thématique de l’émergence de “nouvelles logiques professionnelles” liées au développement des TIC en décrivant les spécificités, les processus ainsi que les enjeux qu’elles représentent en termes de formation.
DÉBAT
animé par Jean-Michel Rauzier, éditeur, Le Documentaliste
RÉCEPTION
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30
MAI
2013Inforum 2013 – InfOverload: (no) surcharge to pay
En collaboration avec Organisé avec le soutien de Programme MATIN Modérateur : Christopher Boon, président de l’ABD-BVD ACCUEIL INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE par Christopher Boon, président de l’ABD-BVD, Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2013 L’INFOBÉSITÉ/SURCHARGE INFORMATIONNELLE […]
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31
MAI
2012Inforum 2012 – ‘Alt+0169’: copyright v. copywrong
En collaboration avec Organisé avec le soutien de Programme MATIN Modératrice : Elena Phalet, Collaboratrice scientifique au Service d’Information Scientifique et Technique, Bruxelles ACCUEIL INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), représenté par Frédéric Lemmers, et Marc Van den Bergh, coordinateur […]
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19
MAI
2011Inforum 2011 – I&D: for dummies???
En collaboration avec Organisé avec le soutien de Programme MATIN Modératrice : Evelyne Luctkens, project & bid manager International Organisations, I.R.I.S. Solutions & Experts S.A., Louvain-la-Neuve ACCUEIL INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE par Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), représenté par Marc D’Hoore, et Marc Van […]
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29
AVR
2010Inforum 2010 – Together we stand
En collaboration avec Organisé avec le soutien de Programme MATIN Modératrice : Trudi Noordermeer, hoofdbibliothecaris Universiteit Antwerpen ACCUEIL INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE par Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2010 FROM PRINT JUNGLE TO A NO […]
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30
AVR
2009Inforum 2009 – It’s all about people
En collaboration avec Organisé avec le soutien de Programme MATIN Modérateur : Patrick Vanouplines, Hoofdbibliothecaris Vrije Universiteit Brussel ACCUEIL INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE par Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), Vincent Maes, président de l’ABD-BVD, et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2009 […]
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17
AVR
2008Inforum 2008 – Bonnes pratiques en information & documentation
En collaboration avec Organisé avec le soutien de Programme MATIN Modérateur : Julien Van Borm, bibliothécaire principal honoraire de l’Université d’Anvers ACCUEIL INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), et Paul Heyvaert, président de l’ABD-BVD FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUÉE: PRINCIPES […]
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26
AVR
2007Inforum 2007 – Le documentaliste 2.0. Un second regard sur les nouvelles technologies
En collaboration avec Organisé avec le soutien de Programme MATIN ACCUEIL INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), et Paul Heyvaert, président de l’ABD-BVD UN APERCU DE QUELQUES NOUVELLES TECNHOLOGIES ET DE LEUR PERTINENCE POUR LES PROFESSIONNELS DE L’INFORMATION […]
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27
AVR
2006Inforum 2006 – Le spécialiste de l’information et ses clients
En collaboration avec Programme MATIN ACCUEIL INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), Philippe Laurent, président de l’ABD-BVD, et Vincent Maes, coordinateur de l’Inforum 2006 SERVICES D’INFORMATION ET CLIENTÈLES : LE RÔLE DU MARKETING par Réjean Savard, professeur titulaire, École de bibliothéconomie […]
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28
AVR
2005Inforum 2005 – Systèmes et langages documentaires. Fictions et réalités
En collaboration avec Programme MATIN ACCUEIL INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), et Philippe Laurent, président de l’ABD-BVD ENTERPRISE CONTENT MANAGEMENT, HYPE OU RÉALITÉ ? par Peter Hinssen, Business Consultancy, Amplexor Alors que les gestionnaires d’entreprises s’enthousiasment pour l’Enterprise Content Management […]
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29
AVR
2004Inforum 2004 – Quelles compétences pour le professionnel de l’information ?
En collaboration avec Programme MATIN ACCUEIL INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), et Philippe Laurent, président de l’ABD-BVD SENS ET NON-SENS DE LA GESTION DES COMPÉTENCES par Dick De Bie, conseiller didactique et publiciste, BDF Adviesgroep, Pays-Bas D’où vient cet intérêt […]